Elle parla des sorties de crèche, avec les autres mamans, de ce rôle étrange à jouer d’un quotidien paisible, de ce besoin pressant de repartir, nourri d’un sentiment qui m’apparut quasi claustrophobique. Le problème ne semblait cependant pas être qu’il ne se passait rien ici, mais bien plutôt qu’on ne sentait pas qu’il se passait des choses ailleurs.