Certes, des policiers mouraient dans l’exercice de leurs fonctions de temps à autre. Comme tout un chacun, ils pouvaient être victimes d’accidents de la circulation, ou de déraillements, qui causaient un grand nombre de victimes. Des immeubles étaient la proie d’incendies, des ponts s’effondraient, parfois des inondations provoquaient des dégâts épouvantables. La différence, c’était que cet incident avait été un acte délibéré, né de la volonté et de l’imagination d’un homme, et dirigé spécifiquement contre la police.