La sonnette des vélos est devenue un des bruits de Pékin. (...)
Les cyclistes, les bras tendus, le dos blancs. Ils sont sérieux, attentifs à protéger cet objet précieux qui évite la marche trop longue, l'autobus surchargé et permet un individualisme autorisé et cher au coeur de tout chinois. (p. 26)