Permets-moi d’ajouter que certains de ces livres étaient le produit de cette invention miraculeuse qu’était la presse à imprimer. Quoique fort surpris de leur aspect, je leur préférai comme bien des érudits d’alors la beauté des vieux volumes écrits à la main. Ironiquement, la presse à imprimer existait depuis longtemps que les gens se vantaient toujours de posséder une bibliothèque manuscrite.