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Citation de Bazart


Ils ne pouvaient pas vivre en essayant de retrouver les enfants qu’ils n’étaient plus, en ayant peur que l’autre disparaisse encore. Leurs nuits étaient mauvaises et, même le jour, ils voyaient des fantômes partout : Constance regardait Ruben et c’était son père qui était là face à elle. Ruben regardait Constance et c’était sa mère qu’il retrouvait et il pensait : Tu n’es pas revenue à Yaoundé pour y vivre comme ta mère ? Tu ne vas pas te faire tuer toi aussi ? C’était impossible d’être leurs héritiers.
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