Nos pensées, nos
discussions et nos préoccupations étaient accaparées par ces choses qui semblent importantes
quand on est plus ou moins au milieu de sa vie : l’argent, la santé, l’apparence physique,
nos maris, nos enfants. À cette époque-là, nous n’évoquions quasiment jamais l’homme
de Tollund même si nous savions toutes les deux, je crois, que nous voulions lui rendre
visite un jour, et que nous sentirions qu’il était temps le moment venu.