Et puis ça s'est arrêté. Tout d'un coup. Un matin je me suis réveillée en me rendant compte que tout ça ne rimait à rien. Je savais encore moins qui j'étais, au milieu de bols chantants et de mantras sacrés, dont certains, même si je ne voulais pas me l'avouer, ne me faisaient pas plus d'effets que le catalogue des promos du supermarché. Tout ça, c'était du faux, du maquillage, du rêve préfabriqué. Il manquait le plus important : un ancrage, un contexte, un sens.