Et ainsi, chaque fois qu'une réprimande collective était faite, je rougissais de honte, incapable de prouver mon innocence, souhaitant seulement qu'on ne s'aperçoive pas de mon état, craignant qu'un jour ou l'autre, on ne découvre le mensonge de ma vie, ma véritable identité, ma marque infamante de juive.