Le Front populaire fut une embellie. « Pendant les premiers mois du Front populaire victorieux, les émigrés éprouvèrent plus qu'à tout autre moment de leur existence le sentiment d'être chez eux en France », écrit Manès Sperber. La crainte de l'expulsion avait disparu. L'électricité n'était plus coupée. « Ce n'était plus la même mouise », dit Aby.