Que pouvait nous dire le « néo-polar » noir sur les destinées sociales de la « génération 1968 », sur les conditions dans lesquelles pouvait se préserver (ou non) une forme de continuité à long terme des engagements, des vies ? À quels lectorats, à quels investissements correspondait le succès durable de ce nouveau style de policiers, réactivé dans les années 1990 par le « Poulpe » ?