Le pire, finalement, ce n'est pas l'échec. C'est l'espoir que met l'enfant en vous à ce moment-là. Cet espoir que l'on n'a pas réussi à faire vivre. Cette promesse qu'on lui a faite, et qu'on n'a pas tenue. Ca reste, ça marque, et ça bouffe, à l'intérieur.