La pente se redresse. Les pins se raréfient ; ils se rabougrissent aussi, leurs formes torturées témoignent de la rudesse des conditions durant la saison froide. Un peu plus haut, le végétal abandonne ses ultimes bastions et le décor devient minéral, si ce n’est quelques coussins d’androsaces nichés encore ici et là, entre les pierres. (page 88)