Les hommes se saluent, certains baisent une dernière fois la main du fondateur de la lignée. La plupart vont partir. Tout le monde se dit adieu de façon digne et retenue. Ne restent, autour du vieil aristocrate et de sa femme, que quelques personnes, surtout des femmes, filles, petites-filles, arrière et arrière-arrière-petites-filles, groupées de sombre, entourées d’une petite armée de domestiques, dont certains font eux aussi leurs bagages et partiront ce soir ou demain.