Et là, quand ça ne sert plus à rien, voilà les sentiments qui se réveillent en moi - bourrelé de remords, comme si j'avais fait exprès de le tuer... Je m'assieds, je ferme les yeux - comme ça - et je me dis : ceux qui vivront dans cent ans, deux cents ans, et à qui nous frayons la voie, s'ils viennent à penser à nous, est-ce qu'ils penseront du bien de nous ? Eh non, nourrice, ils ne penseront pas de bien.