Berlusconi et le pouvoir télévisuel
La voix de dinguodinge se mit alors à le visiter, et lui parlait d'une voix flûtée ou de fausset, comme le murmure d'un confesseur...ne pense pas, souviens-toi de ne pas penser, laisse-moi penser pour toi, Tristano, tu as combattu pour la liberté, et à présent celle-ci est arrivée, cela consiste à être affranchi de la pensée, à ne plus penser...la vraie liberté est d'être pensé.