Le milieu journalistique appréciait néanmoins depuis toujours sa capacité à obtenir des renseignements inédits grâce à ses relations avec la police et les yakuzas, aussi bien que son aptitude à écrire des articles propres à exciter la curiosité des lecteurs, se complaisant à décrire les aspects les plus ignobles, les mises en scène macabres ou les détails obscènes.