Les bords de la rivière étaient jalonnés de cabanes, de huttes et d’abris d’oiseleurs – tous vraisemblablement vacants la nuit et assez isolés pour que seule la faune sauvage fût susceptible d’entendre des hurlements en émanant – en nombre tel qu’il eût fallu un mois pour tous les fouiller, et un an pour remonter les sentiers à peine battus et les passerelles au milieu des roseaux qui conduisaient aux autres