Arnaud Boudoiron

Me voilà repartie dans ma découverte d’Olivier Peru avec le second tome de la saga Zombies Néchronologies. J’ai trouvé « Mort parce que bête » bien meilleur que son prédécesseur ! Une fois encore, cette histoire peut se lire individuellement, car on est avec des nouveaux personnages, un autre contexte et une véritable fin. Bien que cela soit une saga, on peut quand même parler de one-shot.



Cette fois-ci, on se retrouve à Stockholm, avec Andy a intégré un studio de jeux vidéo dont le prochain opus aurait dû être comme « Until Dawn », « Walking Dead » ou « Don’t Starve » : un jeu réaliste où, lorsque le personnage du jeu est mordu ou meurt, la partie est finie… S’il avait su ! Son idée n’est pas si loin de la réalité puisque, en pleine réunion, il découvre que les informations parlent de véritables attaques de zombies ! En quelques pages, le scénario est planté et on se retrouve face à une double page effroyable : les rescapés sont tous morts et baignent dans leur propre sang au milieu du bunker. Que s’est-il passé ? Qui est cet unique survivant armé d’un flingue, debout, au milieu des dépouilles ? Commence alors une série de flash-backs qui permettront de comprendre comment on en est arrivé là. J’ai trouvé l’idée très bonne, car j’aime lorsque cela commence fort ou que l’on est surpris. Ici, la tête du lecteur est remplie de questions et on s’invente son propre scénario au fil des pages, espérant ainsi deviner comment tout a tourné au vinaigre…



En plus du concept intéressant, j’ai beaucoup aimé Andy, personnage principal. Il n’est pas facile à cerner et se révèle plutôt comme un anti-héros en raison de sa violence et d’autres traits de caractère que je ne vous révélerais pas afin de ne pas spoiler. Il n’est pas stéréotypé et a, au contraire, une personnalité travaillée. On prend plaisir à le voir évoluer et se révéler au fil des événements. Concernant les dessins, j’avoue être conquise : les zombies sont tout bonnement dégoûtants et bien effrayants, les décors sont joliment dessinés et la couleur est maîtrisée. À mes yeux, c’est presque un sans-faute ! À découvrir si vous êtes un amateur de revenants avides de chair humaine.


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La couverture est vraiment belle et donne un véritable aperçu de l’histoire que contient ce tome.

Les couleurs sont superbes et merveilleusement bien choisies pour attirer l’œil du lecteur.



Au commencement de cette histoire, nous remarquons rapidement qu’elle n’a rien à voir avec celle du premier tome. Donc, vous pouvez les lire séparément.

Très vite, nous nous rendons compte que les dessins sont toujours aussi merveilleux que dans le tome précédent, ce qui nous donne encore plus envie de le lire.

Nous commençons cette histoire auprès du personnage principal. Il nous raconte tout son chemin depuis le début de l’épidémie. Nous voyons des moments de présent dans sa vie passée racontés grâce à des petites bulles.

Les personnages sont nombreux et ont tous leur petit caractère bien différent les uns des autres. On s’attache rapidement à chacun d’eux. Nous sommes attristés de voir certaines choses qui plongent nos protagonistes dans un profond malheur et désespoir.

Pour un personnage du présent, nous nous demandons qui cela peut-il être. Au fur et à mesure que nous avançons dans cette bande dessinée, nous éliminons quelques personnages qui ne correspondent pas à cette personne.

Certes, cette bande dessinée n’est pas à mettre entre toutes les mains, car il y a beaucoup de passages sanglants et beaucoup de barbaries et le tout en couleurs.

La fin paraît belle au premier abord, mais très vite, nous sommes tristes, car nous n’arrivons pas à croire à ce genre de fin.;





Est-ce que j’ai aimé ce livre ?





Ce fut encore une fois un coup de cœur ! Olivier Péru et Arnaud Baudoiron sont de véritables artistes et donnent envie aux lecteurs de lire leurs histoires.

Je ne peux que vous inviter à les lire !
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C'est un récit plus sombre qu'à l'accoutumée qui nous est livré. On pourra se perdre dans les méandres du scénario. Il serait peut-être temps d'arrêter de développer à l'infini cet univers car cela pourrait lasser à la longue. C'est pourtant un fan qui parle ! Il est clair que c'est parfois difficile d'un album sur l'autre de se réinventer.



Je trouve que l'auteur a voulu raccrocher de force certains éléments à la série originelle ce qui provoque un côté forcé et un peu maladroit.



Bref, une petite déception dans l'univers de Kookaburra Universe.

Jean-Luc Istin arrivera toujours à nous surprendre. Il est actuellement partout. En l'occurrence, il s'attaque au genre science-fiction. L'intrigue est un peu dure à suivre d'autant qu'on ne sait pas très bien ce qu'est cette nouvelle drogue quantique.



L'action se passe en 2046. La société futuriste proposée me semble trop éloignée de ce que cela sera. J'aurais compris si on avait rajouté 100 ans de plus. Cela aurait donné plus de crédibilité au récit d'autant qu'il y a de bonnes trouvailles. Le graphisme m'a également bien plu. C'est efficace et dynamique à la fois.



L'enquête dans ce monde futuriste ne fait que commencer par cette première génération. A suivre par conséquent.

Il existe une famille, les Mac Tiarnan, qui de génération en génération adonné des scientifiques de renom, des génies, des protecteurs, des mécènes puissants et riches. Pourtant ils cachent un secret derrière cette image de sainteté.



Ce tome revient sur cette grande famille dont l'emblème est le kookaburra. Celle qui protège certaines planètes et celle qui a donné naissance à Kaïno, l'un des enfants de la prophétie. On apprend d'ailleurs comment celui-ci vient au monde et comment il se retrouve dans l'estomac d'un lamantin céleste.

J'avoue que j'ai pas tout compris, ça m'a semblé un peu compliqué comme intrigue. On ne sait plus trop qui veut quoi, qui veut la fin du monde et qui veut sauver l'univers. Ca se mélange un peu...

Ces tomes sont sensés apporter des éclaircissements sur des faits ou personnages de la série mère. Mais j'ai parfois l'impression qu'ils se contredisent, ça embrouille plus qu'autre chose...

Ce tome là m'a carrément plus convaincu que le précédent. Lier dans une même intrigue une histoire de zombie et un huis clos où les protagonistes se retrouvent à devoir réellement survivre à une apocalypse est quelque peu original. Du coup dixit les zombies, l'auteur plonge aisément dans les méandres de l'esprit humain, torturé face à la fin monde, et laissant libre court à ses plus vils instincts. Le zombie n'est ici qu'une vitrine pour mieux souligner la déchéance de la nature humaine, sa sauvagerie et sa bestialité reprenant le dessus. Ce huis clos permet à l'auteur de fouiller les bas fonds de l'âme humaine pour en extraire ce qu'il y a de plus vil et de plus mauvais, pour nous montrer que nul besoin de fin du monde pour créer des monstres. Les zombies font bien pale figure face à ses humains prêts aux pires bassesses pour survivre. Redevenir une bête pour tuer la bête!

J’ai découvert le tome 2 sans avoir lu le tome 1. Je pensais que j’allais me perdre dans l’histoire, et pourtant, cela n’a pas été le cas. On est plongé comme dans un instantané dans un moment de vie, épouvantable certes, d’une poignée de personnes.



Pas de temps morts, l’histoire est rythmée, les rebondissements sont présents, on se laisse facilement prendre au jeu.



L’histoire en elle-même est terrifiante, on ne peut s’empêcher de penser à la façon dont on réagirait si on était confrontés à un évènement pareil. Le confinement, la peur, le danger qui rode autant à l’extérieur qu’à l’intérieur, la guerre des egos. Sur qui compter ? Qui nous sauvera ? Qui nous mènera à notre perte ? En qui avoir confiance ? Autant de questions que l’on se pose.



Comme toute bonne chasse aux zombies, certaines scènes sont gores, mais sans que cela soit insoutenable.



L’ensemble est bien restitué par un dessin approprié. Les couleurs, le trait, tout concourt à rendre l’ensemble homogène.



Une BD à lire pendant ce mois d’Halloween !
Lien : https://chroniqueslitteraire..

Les lecteurs qui se plaignent du manque de renouvellement en BD devraient en tenter la lecture... Une nouvelle "tuerie" d’Olivier Peru !
Lien : http://www.actuabd.com/Zombi..

Cet ouvrage était posé à l'accueil d'un magasin où je vais souvent - pour ne pas donner le nom mais ça commence par un V pour les curieux - avec dessus une feuille pliée où était inscrit 'servez-vous c'est gratuit' N'osant pas y toucher en croyant qu'il s'agissait d'une petite blague, on attendait -oui j'étais avec mon copain - comme deux pommés devant ce livre ! Puis finalement la femme - qui était de dos - se retourne et nous confirme que l'on peut le prendre ! Ni une ni deux hop dans nos mains !

C'est vraiment un très bel ouvrage où l'es filles de soleil' sont regroupées pour notre plus grand plaisir ! Les dessins sont variés et d'une beauté époustouflante. Etant d'assez grande taille, les dessins sont alors très bien détaillés ! Cela m'a permit de découvrir ces filles car je n'ai jamais lu de bande dessinée des éditions Soleil, ça m'a mis l'eau à la bouche !

Le petit bémol que j'ai trouvé c'est que les dessins n'ont pas d'auteur.. enfin on a un nom mais je ne sais pas s'il s'agit du nom du personnage ou du nom de l'artiste .. Mais avec quelques recherches ça devrait aller !


Lien : http://steambook.blogspot.fr..

Olivier Peru continue donc d'apporter du sang nouveau dans les corps en décomposition, chose remarquable tant parfois le genre s'enlise dans les fosses communes...
Lien : http://www.psychovision.net/..

Mort parce que bête, deuxième tome de Zombies Néchronologies, est une excellente lecture, tout aussi réussie que le précédent opus. Un must dans le genre.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

La société Arnold construit des Mécas, des enveloppes mécanisées appelés Husk qui sont notamment utilisés par la Police. Les agents qui utilisent les Husk font corps et esprit avec la machine grâce notamment à des nano robots qui circulent dans leur corps.

Mais la société Arnold découvre qu’un Hacker s’en prends à ses bijoux technologiques et pourrait compromette l’intégrité des Husk...

Derrière un synopsis intéressant, j’ai été déçu par le rythme de la BD. Sarah, l’un des personnages de l’album, nous conte son expérience de vie dans le Husk mais je trouve cela un tantinet soporifique et long, il manque terriblement d’action et on voit à peine l’utilité de telles machines. Les personnages sont aussi assez peu charismatiques et attachants, notamment les 2 agents de police.

On a même l’impression que l’intrigue avec le hacker passe au second plan après les élucubration métaphysique de l’héroïne.

Bref, on s’ennuie beaucoup et c’est bien dommage car on est clairement dans un univers intéressant et développant un cadre scientifique réaliste.

Dans un monde futuriste, une nouvelle drogue fait fureur. Le Nirvana est une drogue qui ne se contente pas d’agir sur le cerveau du consommateur, elle disperse littéralement les molécules humaines. Si le trip est absolu, les dangers de cette drogue quantique ne sont pas moindres car le risque de ne pas se reformer à l’identique après dislocation du corps est bel et bien réel. Hurley Judd a d’ailleurs perdu sa femme, accro à cette saloperie, il y a quelques années. Bien décidé à remonter la piste du créateur de cette substance révolutionnaire qui a bousillé sa vie, il est devenu narco-flic et est prêt à tout pour infiltrer le milieu des trafiquants.



Plutôt adepte du genre fantasy, Jean Luc Istin surprend tout le monde en proposant un récit futuriste axé autour d’une drogue qui agit au niveau moléculaire. Initialement livrée sous forme d’intrigue policière, la quête vengeresse de cet ancien fonctionnaire à la loge des archivistes mêle progressivement différents genres. Évoluant vers un univers SF de plus en plus prononcé, ce récit d’anticipation prend même des allures de comics de super-héros en deuxième moitié d’album.



Visuellement, Arnaud Boudoiron donne vie à un univers pour le moins singulier et semble très à l’aise lors des scènes plus futuristes dans l’espace. Si le début de l’histoire est légèrement décousu et que certains enchainements sont un peu trop rapides, l’originalité du récit fait mouche et ce premier volet s’avère finalement parfaitement maîtrisé et très plaisant à lire.

Très astucieusement, Peru nous fait découvrir différentes facettes de l'épidémie de "zombisme"... en nous projetant dans d'autres villes et dans d'autres contextes.



Ici, on est à Stockholm. Il rend bien l'atmosphère de la ville, pour le peu que l'on en voit, et le flegme scandinave (même si le personnage principal est irlandais).



Petite cerise sur le gâteau, on démarre avec un groupe de concepteur de jeux vidéo chargé de créer un jeu de... zombies. Mais le clin d'oeil est bref et on plonge derechef dans l'horreur. Peru développe un huis clos intéressant, nous montrant le délitement des rapports humains. Ces rapports humains étaient déjà au centre de son premier tome. Mais, ici, ils sont mieux rendus (c'est plus facile, aussi, avec un huis clos). Il multiplie les flashbacks, mais ceux-ci sont assez bien renseignés et les confusions rares (sinon impossibles).



On commence à distinguer les fils rouges qui se tissent entre les tomes. Il est question d'isolement géographique, de repli sur soi, de communauté, mais aussi d'intérêts individuels. En prime, Peru aborde dans ce deuxième tome la question de l'amour et de ce que l'on est prêt à faire et à accepter au nom de l'amour par rapport aux zombies... le personnage principal n'arrive pas à tuer son meilleur ami devenu zombie, mais il est prêt à laisser entrer les zombies dans leur repaire afin de sauver la femme qu'il aime. Comment celle-ci pourra-t-elle faire face à un tel "cadeau"... Peru nous livre une réponse cynique et dérisoire, comme la survie face à un tel fléau. Un chouette tome qui revisite un peu l'univers de zombies.



Au final, même le titre du tome est un trait d'humour noir... faut-il mourir parce que l'on est bête ou inadapté (ce bon vieux darwinisme...) ou survivre seul parce que l'on est supérieur aux autres... Peru répond à sa manière dans une dernière page qui vaut de l'or.



Notons, au passage, un meilleur dessin, Peru ayant pris l'option de changer de dessinateur à chaque tome.

Le dessin est magnifique sur les décors et les persos, avec un traitement du noir un peu comics, un vrai sens de la mise en scène, pour une histoire qu'on aurait envie de voir au cinéma.

De la très bonne SF, quand la came est bonne, on y devient vite accro !



Parfois, en bd, certaines cases sont magiques. Le mec qui dit "je vais finir ce salop" en brandissant sa tablette de chocolat, j'ai trouvé ça génial !

"Kookaburra Universe" est une série parallèle réalisée par des auteurs différents et qui a pour but de développer les personnages principaux de l’univers extrêmement riche forgé par Crisse autour d’une sombre prophétie galactique et d’enfants porteurs d’un pouvoir qui les dépasse. Ce treizième tome est pris en main par les auteurs de "Husk" et dévoile les origines du berger des étoiles Kaïno Ladd.



Louis, l’auteur de "Tessa, Agent Intergalactique" (série qu’il produit d’ailleurs en compagnie de celui qui à repris les commandes de l’univers Kookaburra : Mitric), scénarise donc un second one-shot de la saga "Kookaburra Universe". Après avoir livré le neuvième tome en solo, il est maintenant accompagné d’Arnaud Boudoiron au dessin, tandis qu’à la colorisation on retrouve à nouveau Sébastien Lamirand, un grand habitué de la série qui contribue à l’unité graphique de l’ensemble. Arnaud Boudoiron livre du bon boulot, mais abuse peut-être un peu trop des pleines-pages.



Si Louis était parvenu à intégrer énormément d’éléments et de révélations au sein d’un récit cohérent et prenant lors du neuvième tome, je suis beaucoup moins enthousiaste à la lecture de ce treizième volet. On a certes droit à un nouveau tome riche en révélations, mais en voulant lier son histoire à de nombreux éléments issus d’autres tomes de la série, l’auteur donne l’impression d’avoir voulu en faire trop. De Ayers’rock, là où la prophétie du Kookaburra a débutée, jusque dans les entrailles d’un lamentin, en passant par le secret des Mac Tiarnans, l’auteur est trop gourmand et livre un récit qui ne manquera pas de rebuter les néophytes. J’ai également l’impression qu’en voulant intégrer énormément d’éléments de l’univers Kookaburra en un seul album, l’auteur a également été obligé de prendre quelques raccourcis au niveau de l’enquête qui sert de fil rouge à cet album. La compréhension un peu rapide/facile de la symbolique qui se dissimule derrière la libération des planètes, est un exemple qui me vient à l’esprit. De plus, je n’ai pas trop apprécié la narration et le ton plus sombre de cet album.



Bref, malgré un contenu assez riche, cet appel des étoiles m’a fortement déçu !

Un nouvel album de 5 histoires courtes dédiées à l’univers de "Carmen McCallum" et "Travis". Des petits récits assez inutiles qui n’apportent pas grand chose à l’univers et n’approfondissent pas les caractères des personnages.



Tout comme dans le premier tome (avec ‘cuisiné par Carmen’) on retrouve une recette de cuisine intitulée ‘Cuisiné par Vlad’ et qui constitue le passage le plus faible de ce tome au niveau du scénario et du graphisme. Si les auteurs cherchent absolument à scénariser une recette de cuisine de façon originale et en décalage avec le dessin, je leur conseille de lire "voies off".



Par contre, par rapport au premier tome, les autres récits de ce tome sont d’un meilleur niveau en ce qui concerne le dessin et le scénario. Et si cette série permet de découvrir de nouveaux auteurs à travers plusieurs petites histoires, dans l’ensemble elle reste assez faible par rapport à "Carmen McCallum" et "Travis".

Il manque sur ce site le tome 1 & 3 de cette série « Zombies nécrologies».

Celui ci pas encore en main. Mais le premier sont les suites de la première série de «Zombies» qui était composé de 5 Bd (tome 0 à 4 ).

Superbe Bande dessinée de cet auteur Olivier Péru qui s'associe avec d'autres personnes (illustrateurs, scénariste, création). Je recommande pour ceux qui sont adeptes de bandes dessinées.

Seconde génération est un second tome d'une grande qualité, qui nous permet de lire une saga de science-fiction comme cela fait longtemps que nous n'en avons pas eu en main ! Une œuvre que je vous invite à lire sans hésiter !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..

Une aventure épatante et originale dans son traitement, à découvrir absolument !
Lien : http://www.bdencre.com/2013/..