Plus désinhibés que nous à cet instant, je vois pas. Avec Richard on avait des sexes rabougris par le froid, mais on s'en battait ce qui restait de nos gonades. J'avais jamais vu la quenelle de mon pote. Il semblait avoir un sexe plus long et plus large que le mien. Il paraît que ça fait toujours ça quand on regarde la bite de quelqu'un d'autre, mais ça me chiffonnait un peu quand même. Je me demandais si j'avais pas pris un début de bide aussi... Debbie s'était désapée en deux minutes. Ses seins étaient lourds et sa toison dense et noire comme un café italien trop serré (ou un truc sombre du genre).
Elle nous a jeté un coup d’œil en coin en ricanant comme une enfant, puis a filé en courant vers les vagues. Elle était fine et ferme. Son cul parfait était une planète vierge où la cellulite n'avait pas encore posé le pied. Elle s'est retrouvée dans l'eau avant nous, sautant au cœur des vagues, elle nous faisait des signes nous incitant à la rejoindre. Passons sous silence les soubresauts de sa poitrine, un lecteur non averti pourrait y prendre goût...