On écrit des livres sur ou tel grand esprit de l’Antiquité, et le public les lit ; mais il ne lit pas le grand homme lui-même. Il ne veut lire que ce qui est fraîchement imprimé, parce que similis simili gaudet, et que l’aride et fade bavardage d’un plat écrivain de nos jours lui est plus approprié et plus agréable que les pensées du grand esprit.