Augustin B.

Mouais. A éviter. Dommage ça partait bien.

au début ça démarre bien mais à la moitié déjà on s'ennui le sujet est bon pourtant mais traité de façon complexe du coup on décroche souvent on ne sait plus si le sujet est la calvitie mal vécu du personnage principal ou l'organisation et le déroulement des OGN contre le réchauffement climatique

des longueurs ...qui durent un peu trop. Dommage bien écrit, des références politique économiques évidentes mais franchement la balade est vite lassante...l'humour présent au début s'envole doucement mais sûrement on un livre qu'on peine à finir franchement

L'histoire perd de sa folie au fil du roman. Un style d'écriture quelque fois compliqué qui rend la lecture pas tout le temps agréable.

C'est dommage car le sujet est intéressant et abordé de façon loufoque et drôle en début de récit...

En transposant sur les planches Les Deux étendards, sous le titre Ni Dieu ni Diable, Augustin Billetdoux, 28 ans, convoque de vieux démons.
Lien : http://www.lepoint.fr/livres..

Tout est sujet, non seulement métaphysique, mais de roman. La calvitie n'est pas intéressante: sauf quand elle bouleverse l'être, fait de l'homme qui y est confronté un mutant, un étranger à lui-même. Pour le narrateur du Messie du ­peuple chauve, livre qui fait partie de ces premiers romans que l'on n'oublie pas, que l'on n'oubliera plus (et qui proposent pour les décennies à venir une personnalité neuve, un écrivain nouveau), perdre des cheveux s'avère le seul prisme par lequel il devient possible d'envisager la vie, l'amour, la mort, l'univers, les étoiles, la politique, la poésie.
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