Il n'y a pas d'argument mathématiquement inébranlable pour nous pousser à opérer la révolution écologique. Le mot "écologie" est lui-même trop étroit. C'est plutôt de "biophilie" - d'amour de la vie- qu'il faudrait parler. De même que le mot " environnement" est trop anthropocentré: c'est bien de la nature qu'il s'agit et pas seulement de ce qui nous entoure.