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EAN : 9782749940588
143 pages
Michel Lafon (02/05/2019)
  Existe en édition audio
3.9/5   414 notes
Résumé :
Nouvelle édition augmentée

Dans la première édition de ce livre, Aurélien Barrau nous disait : " La vie, sur Terre, est en train de mourir. L'ampleur du désastre est à la démesure de notre responsabilité. L'ignorer serait aussi insensé que suicidaire. Plus qu'une transition, je pense qu'il faut une révolution. Et c'est presque une bonne nouvelle. "

Dans cette nouvelle édition, il complète et affine son propos en analysant la nature des ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (62) Voir plus Ajouter une critique
3,9

sur 414 notes
Découvert par hasard en visionnant une vidéo sur internet, j'ai immédiatement souhaité lire l'ouvrage (plutôt court) d'Aurélien Barrau. Ce que j'y ai découvert correspond à ce que j'en attendait : un pamphlet contre nos yeux fermés devant le désastre climatique à venir, et déjà en cours. le style est accessible, les idées finalement assez prévisibles, mais les faits sont là, et de les lire, assénés sur le papier, a un impact plus efficace sur notre esprit qu'une simple conversation entre voisins, connaissances, sur le sujet.
Nous voilà mis face au mur, il n'est plus temps d'ignorer la réalité. Pas de culpabilisation dans cet écrit, y est énoncée plutôt une autre manière de penser le monde, de penser sa vie quotidienne, son avenir. D'ores et déjà je n'ai pu que modifier mon regard sur mon vécu quotidien, et les petits gestes pronatures sont devenus plus fréquents, plus naturels. Je parviens aussi peu à peu à envisager un avenir, si aucune "découverte miraculeuse" n'intervient, ce qui devrait être le cas selon A. Barrau, sans grand voyage (ou très peu) à l'étranger, l'idée de ne pas pouvoir "voir en vrai" des sites mythiques trop éloignés imprègne mon esprit... C'est un pas bien plus douloureux que celui du "manger plus naturellement", baisser sa consommation superficielle et non-indispensable, favoriser les produits d'hygiène/maison naturels.... mais je crains qu'il ne devienne inéluctable.
Ce livre n'est pas à lire le soir, car oui, il est propice à la réflexion, mais s'avère aussi très anxiogène, on se sent tellement impuissant face à tous ces "grands" du monde, politiques comme industriels, financiers, ou simples "people richissimes", qui initient tellement de dégâts irréversibles contre les animaux, la faune, et l'humain demain, sans que l'on puisse rien y faire, nous les "petits" lambdas...
Mais ce n'est pas une raison pour les imiter, en citoyen du monde fatalistes ("il vaut mieux prendre tout ce qu'on peut prendre tant qu'on le peut" !!!) : sachons leur montrer l'exemple, et les pousser à renoncer à leur façon d'être, par des boycotts ou autres ; nous aussi avons un certain pouvoir, celui du nombre !!!
Lecture indispensable, à faire circuler autour de vous !!! Foncez !!!
Oui, il y a quelques longueurs, quelques redites, mais il faut bien marteler les faits pour qu'ils rentrent dans nos têtes de manière pérenne et efficace !
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Aurélien Barrau nous expose ici son urgence à agir pour la planète, tant au niveau individuel qu'au niveau collectif.
Urgences à modifier nos comportements personnels, au niveau social, notre façon de vivre et notre façon de voir les choses, prioriser les urgences...
Texte édité en 2018.
Depuis il y a eu la pandémie de Covid... depuis, nos gouvernements priorisent ce qu'ils veulent prioriser !
Malheureusement, 5 ans après, les mentalités n'évoluent guère. La société de consommation est toujours d'actualité. La valeur de la croissance économique également.
Les gouvernements prennent les décisions dans ce sens, dans le sens des grands industriels et aucunement dans le sens du bien être de notre planète mère.
Tout le monde crie à la catastrophe, mais l'image de notre monde ressemble au tableau de Munch "Le cri". Point barre.
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Nous sommes sous « une menace existentielle directe » selon l'ONU. Notre civilisation est prévenue. Sera-t-elle capable de réagir et de se transformer ou va-t-elle s'effondrer ?
Aurélien Barrau dresse dans cet essai le constat affligeant et l'urgence de la situation, le plus grand défi de l'histoire de l'humanité...
Nous devons repenser notre manière d'habiter le monde, consommer moins, respecter le vivant pour « éviter le « crash » du système « planète Terre » ». La vie se meurt. Principalement à cause de nous.
« Nous sommes devenu notre propre menace. le plus grand danger pour l'humanité est aujourd'hui l'humanité ».
Aurélien Barrau dénonce l'hypocrisie des termes et souligne la nécessité d'actions plus radicales dans certains cas. Ce n'est plus une érosion de la biodiversité qui a lieu mais un « crime de masse », une « extermination orchestrée ».
Pour espérer nous en sortir, il faut une action fractale englobant des engagements à tous les niveaux. Malheureusement nous ne pouvons pas vraiment faire confiance aux politiciens et aux industriels...
« La tâche est immense et le temps presse. Si le génie humain existe, c'est ici et maintenant qu'il doit se manifester. »
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On m'a prêté ce livre connaissant mon intérêt légitime pour le thème et pour être honnête je partais un avec un léger a priori négatif.
Non pas que je n'apprécie pas Aurélien BARRAU, d'autant que je le suivais déjà sur ses travaux scientifiques (1), mais par peur d'un ouvrage plutôt aseptisé, peut-être un peu trop doux et donc forcément en deçà de que le sujet mérite : on parle bien ici de la destruction de la vie par l'humain - principalement occidental, faut-il le rappeler?

Le livre démarre sur le constat implacable de l'écocide en cours. Nous consommons littéralement notre droit à la vie sur Terre en surexploitant ses ressources, qu'elles soient fossiles, minérales, végétales ou animales (humains inclus). le foisonnement de chiffres (2) pour témoigner de l'ampleur de la catastrophe met un sacré coup au moral - soyons honnêtes. Il faut bien ça - et il s'agit de toute façon de la réalité - pour appréhender l'urgence de la situation.

Face au défi éminemment vital avéré, que faire?
Barrau pose un tour d'horizon non exhaustif des différentes évolutions envisageables en distinguant l'échelle individuelle et politique, mettant en exergue leurs forces et faiblesses pour conclure à l'évidence d'un changement global. A voir le bilan mondial de consommation, il est clair qu'au moins le gaspillage pourrait être endigué en bien des domaines - par exemple. C'est à la fois le pouvoir du consommateur en tant qu'individu et des Politiques en tant que Législateur de tracer la voix vers un monde plus responsable; mais surtout : vivable.

Or ce changement ne peut advenir dans notre société occidentale droguée à la croissance. C'est une évidence que - désolé d'être franc - seuls les idiots peuvent nier. Aurélien BARRAU et certes Physicien mais un enfant comprendrait qu'une société basée sur la nécessaire croissance - et donc infinie - n'a aucune réalité possible dans un monde fini tel que l'est la Terre.
Un changement de paradigme vers un Ecologisme qui serait une règle d'or - sans être une dictature verte ! - passe nécessairement par un changement de paradigme sociétal. La concurrence entre les peuples et à l'intérieur même des peuples est une hérésie à bien des égards (lègue putréfié des premiers Utilitaristes, adoubé par une interprétation erronée du Darwinisme).
Non. On ne sauvera pas la vie sur Terre à l'aide du Capitalisme Néolibéral, principale forme d'oppression. On ne sauvera pas la vie sur Terre et les sociétés humaines sans une (r)évolution profonde, sans retrouver les racines du vivre-ensemble : le partage.

Le livre termine sur un petit chapitre de Questions/Réponses très pertinent qui permet à Barrau d'approfondir son point de vue sur certains sujets mais surtout de répliquer aux objections courantes le concernant directement (notamment, récemment, sa Rolex...) ou indirectement, aussi bien qu'infirmer tous les doutes les plus optimistes au sujet de l'effondrement en cours; Suit un petit "épilogue presque philosophique".

La pensée d'Aurélien BARRAU se rapproche à bien des égards de la pensée Libertaire, tel qu'il le mentionne lui-même dans le chapitre évoqué précédemment, mais aussi de la "Pensée Complexe" d'Edgar MORIN (sans toutefois le mentionner), ce qui confère à l'ouvrage une bienveillance et une profondeur particulièrement agréable.

Avec un peu moins de 140 pages - et "écrit gros" - c'est un ouvrage très accessible à un prix de 8€ (et sur papier recyclé histoire d'être le plus consistent possible avec ses principes) que je vous recommande non seulement de lire, mais surtout de faire lire - comme je m'apprête à le faire.

En espérant vous avoir donné envie.

(1) : https://www.youtube.com/channel/UCwgqYNmYaij2_8hq_tOFyZw
(2) : on regrettera tout de même l'absence de toute référence malgré la quantité de chiffres évoqués
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Un diagnostic clair et accablant de la situation actuelle et à venir. Des propositions pratiques pour agir tout de suite chacun à son niveau. Voilà ce que donne à lire ce petit ouvrage, volontairement petit et consciemment dépolitisé.

Il n'a peut-être pas tout à fait tort, Frédéric Lordon, de railler Aurélien Barrau quand celui-ci n'ancre pas son combat dans un combat politique au sens « classique » (Marx était d'ailleurs, lui aussi, un économiste classique) du terme. Oui il faut parler de capitalocène plutôt que d'anthropocène. Oui il faut bien mettre le doigt sur les mécanismes qui sont à l'origine des dérèglements environnementaux, climatiques, mais aussi sociaux et même moraux de notre monde : et ces mécanismes sont incontestablement liés à l'appropriation violente par une classe de... tout ! Moyens de production, Richesses naturelles, espaces, temps, déplacements et imaginaires des femmes et des hommes qu'ils considèrent à leur service.
Mais il a peut-être aussi tort, Lordon, quand il raille Barrau et en fait un crétin scientifique incapable d'une conscience politique. D'abord parce que le chemin que Barrau a parcouru depuis l'astrophysique jusqu'à l'écologie est sans doute tout aussi admirable que celui que Lordon a parcouru pour passer de la science économique à la philosophie. Ensuite parce que Barrau a peut-être plus de chance de toucher un public large en descendant de son piédestal de savant et en donnant dans un style simple et pratique, appropriable en somme, que Lordon qui ne cesse de vouloir surélever sa statut à grand renfort de formules adroites et de bons mots (beaucoup d'intelligence, certes, mais au service de sa cause autant que de la cause). Je suis pourtant admiratif de Lordon, mais il est possible qu'il n'ait pas saisi l'importance des postures, la leçon de certains mouvements sociaux, l'écart qui existe entre certaines consciences et d'autres.
Et lorsqu'à la question qui lui est posé par un journaliste « si chacun devait commencer par un engagement, ce serait lequel ? », Barrau répond « ça serait d'oser interroger tout ce qui nous semble si évident. Plutôt que de se battre pour le « pouvoir d'achat », ne devrait-on pas se mobiliser pour le ‘‘devoir d'aimer'' ? » a-t-on raison de se gausser ?

La maison brule comme dit la formule désormais célèbre et reprise par tous. Or, si Lénine disait qu'il n'y a pas de révolution sans théorie révolutionnaire, c'est-à-dire sans analyse des causes de la situations et proposition, Barrau a sans doute raison de penser que nos cultures, notre civilisation, nos habitudes et visions du monde sont gangrénées par 500 ans de philosophie individualiste ou l'homme est posé au sommet de la création et peut en disposer à sa guise. IL a sans doute raison de penser que les uns et les autres avons aussi notre chemin à parcourir pour consentir à la rupture révolutionnaire. Sans briser ce credo-là (formé, entre autre, des croyances dans le consumérisme comme moyen d'être heureux, dans la fuite en avant technologique comme progrès, dans la croissance économique comme horizon civilisationnel), sans comprendre que nous faisons partie d'un tout et ne sommes pas un archipel dans un océan du vivant, on pourra toujours chercher à se réapproprier les moyens de production, à nationaliser les grands secteurs industriels, et réguler les échanges, etc., on risque bien de ne pas rompre suffisamment avec le modèle de pensée qui aujourd'hui nous domine et qui ne fait pas qu'épuiser les hommes et les femmes, mais aussi la nature (c'est Marx lui-même qui le disait). Ce modèle n'est pas seulement celui du mode d'appropriation, il est celui-là même de la légitimité de s'approprier.

Lordon est par ailleurs malhonnête de réduire le combat de Barrau à celui de la fin des touillettes en plastic. Et il dit même des choses très intéressantes : la nécessité de décroitre ! Et à l'heure où le grand soir risque bien plus d'être catastrophique que révolutionnaire, à l'heure où la désaffection pour les programmes politiques et plus encore les leader, autoproclamés ou adoubés est au plus fort, proposer à chacun (comme le fait Barrau) de devenir acteur dans son quotidien et d'agir en adoptant des gestes qui participeront, à grande échelle, à sauver le monde et à petite échelle à se repositionner dans ce monde pour en devenir un sujet responsable (le fameux principe de responsabilité cher à Hans Jonas) et, ce faisant, à redéfinir ce que c'est qu'un vie digne d'être vécue, ce n'est pas nécessairement l'idée la plus sotte que l'on ait proposée.

En somme, si je suis bien d'accord avec l'analyse de Lordon sur les causes de la misère et de la mort inévitable du Monde qui est le notre, dans toutes ses dimensions (sociale, civilisationnel, écologique...) mais non seulement je pense que Barrau n'est pas loin de partager la même analyse, mais il est même possible qu'il fasse un pas de plus : philosophiquement, en prônant un radicalisme que Lordon ne me semble pas encore atteindre, et stratégiquement en donnant tout de suite les clés d'un agir, certes individuel mais à portée collective potentiellement très puissant.
« Quand on pense qu'il suffirait que les gens n'en achètent plus pour que ça ne se vende pas » comme disait Coluche. On peut se battre pour effacer la dette et redonner du pouvoir collectif à la classe des dominés ET on peut se battre pour lui donner les moyens d'exercer tout de suite un pouvoir qui est loin d'être sans effet. Changer nos habitudes de vie et reprendre le contrôle de nos envies, de nos besoins, réels, re-travailler sur le sens de l'existence est loin d'être idiot et inutile.
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Citations et extraits (113) Voir plus Ajouter une citation
Aujourd’hui, en terme de biomasse, les mammifères « libres » ne représentent que 7 % des mammifères d’élevage, essentiellement destinés aux abattoirs. Plus des trois quarts des oiseaux sont des volailles d’élevage. Il ne faudrait plus montrer aux enfants, dans les livres éducatifs, les écureuils et les musaraignes : notre planète n’est plus significativement habitée par ces êtres-là. Ils sont anecdotiques. Aujourd’hui, le monde non humain est une gigantesque ferme-usine, une autoroute vers la mort. Les manuels scolaires ressembleraient à des livres d’horreur si nous disions la vérité. L’assumons-nous ?
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On ne peut plus mener une politique qui favorise la « croissance » consumériste. Cela revient - littéralement - à se dire que face à un corps drogué et dépendant, nous allons augmenter les doses de substances hallucinogènes et mortifères. Cela peut, un court instant, masquer la pathologie, mais la mort n’en sera que plus rapide et douloureuse. C’est une question de sérieux. Les « doux rêveurs »ne sont pas, ici, les écologistes, mais ceux qui pensent pouvoir défier les lois fondamentales de la nature. Et leur rêve devient notre cauchemar.
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Il faut, je crois, intégrer le fait que même si elle est légale, même si nous avons la capacité à "payer" pour cela, notre consommation souvent peu scrupuleuse a un impact fort sur les autres vivants : elle ne regarde pas que nous, tout est là. Le « chacun fait ce qu'il veut » n'a aucun sens : nous habitons la même planète et les actes de chacun ont des conséquences pour tous.
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Mettre fin à un emballement technocratique qui confond la fin et les moyens, qui fait de la surproduction une visée - et non un accident -, ne relève finalement que du bon sens et de la redécouverte de valeurs élémentaires ou ancestrales. Il s'agit de réinventer la continuité. Il s'agit de réapprendre la beauté subtile. Il s'agit de ne plus penser les animaux et végétaux comme des ressources, mais comme des entités ayant sens en elles-mêmes, avec lesquelles il est évidemment possible d'interagir mais hors de la logique réificatrice qui prévaut aujourd'hui. D'aucune manière il n'est question d'interdire les évolutions ou de renoncer à des avancées signifiantes.

Pp. 69-70
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Nous avons les journalistes et les politiques que nous méritons : nous lisons les premiers et élisons les seconds. Ils sont le reflet de nos attentes et la responsabilité est donc collective. [...] Je ne regarde pas le journal télévisé, mais quand il m'arrive de le voir chez mes parents, je suis stupéfait du temps consacré à des anecdotes insignifiantes - parfois dès l'ouverture - alors que l'essentiel est relégué à ce qui devrait être la place du fait divers. Cette construction des hiérarchies est lourde de conséquences : elle participe à la création d'une image du réel extraordinairement biaisée par rapport à l'axiologie que j'appelle ici de mes vœux.
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Videos de Aurélien Barrau (11) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Aurélien Barrau
« Et maintenant ?». C'est la question que notre société se pose depuis près de deux ans après une pandémie qui a bouleversé la planète. Ce nouveau festival propose de regarder et de débattre ensemble des idées, foisonnantes au demeurant, qui sont aujourd'hui posées à nous tous.
La 1ère édition de «Et maintenant ?» le festival international des idées de demain créé par France Culture et Arte se tiendra lundi 29 novembre de 10h à 23h à la Maison de la Radio et de la Musique (gratuit sur inscription) et en ligne sur un site dédié : https://www.etmaintenant-lefestival.fr/
«Et maintenant ?» le festival international des idées de demain
TEMPS FORTS DU PROGRAMME Des penseurs, des artistes, des chercheurs, des personnalités engagées et inspirantes seront au rendez-vous.
Avec notamment : Cyril Dion, Aida Ndiaye, Christiane Taubira, Philippe Rio, François Taddei, Loïc Blondiaux, Esther Duflo, Michael Sandel, Amitav Ghosh, Aurélie Jean, Monique Tnumngia, Jean-François Delfraissy, Etienne Klein... Quatre Grands Débats pour renouveler les perspectives avec des penseurs porteurs de réflexions d'avenir Des rencontres avec des intellectuels et des chercheurs internationaux autour d'idées très contemporaines et des temps d'échanges autour des mots au centre des débats publics actuels, des idées neuves, de propositions d'actions... le Tribunal pour les Génération Futures avec Usbek & Rica : Faut-il dissoudre la France ? le spectacle de François Gremaud inspiré de la conférence de l'astrophysicien et philosophe Aurélien Barrau sur l'urgence d'agir pour l'avenir de la planète : Auréliens avec Aurélien Patrouillard. La remise du premier Prix de l'essai France Culture-ARTE Des séances de documentaires-conférences Des ateliers participatifs ouverts à tous les publics, tout au long de la journée.
Et maintenant ? le questionnaire etmaintenant-lequestionnaire.fr
Plus de 50 000 personnes ont répondu au questionnaire en amont du festival. Il s'inscrit au coeur des préoccupations du public jeune afin de recueillir les aspirations, préoccupations, inquiétudes ou motivations de la génération des 18 à 30 ans. ARTE, France Culture et les sociétés Upian et Yami2 ont mis en ligne le 12 octobre un questionnaire inédit de cent trente questions organisées autour de cinq grands thèmes : l'éducation, le travail, la science, la démocratie et les sujets liés à l'intimité. le questionnaire a été élaboré avec la sociologue Monique Dagnaud, directrice de recherche CNRS émérite qui enseigne au Centre d'études des mouvements sociaux (CNRS/École des Hautes Études en Sciences Sociales). Analysés par des statisticiens, les résultats font l'objet d'une interprétation sociologique et les réponses au questionnaire ont inspiré la programmation du festival Et maintenant?
Et maintenant ? le premier grand prix de l'essai France Culture-ARTE. Il récompense un essai publié par un chercheur sur un grand enjeu de l'année, adossé à une recherche. Un jury de présélection paritaire et renouvelable tous les trois ans composé de sept éditeurs de non-fiction en France a présélectionné sept essais proposés au scrutin d'un jury composé de trois personnalités issues des co-fondateurs et de trois étudiants. Il donnera lieu à une mise en valeur par des invitations sur les deux antennes partenaires et d'une dotation financière en partenariat avec l'Agence Nationale de la Recherche.
France Culture & ARTE Le questionnaire et le festival seront soutenus sur les antennes hertziennes et numériques au fil des émissions et magazines de France Culture et d'ARTE ainsi que sur des formats dédiés sur Internet et les réseaux sociaux. France Culture et ARTE sont, au fil de leurs magazines, de leurs journaux d'information, de leur politique de documentaires de connaissance, les partenaires au quotidien du monde des idées, les partenaires de l'édition, des auteurs, et des lieux de production de savoir. France Culture et ARTE sont des médias de confiance et de référence. À la dictature de l'opinion et du clash, ils opposent la raison et la conviction que l'expérience du terrain adossée aux dernières recherches
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