Ne parlons plus de l’« érosion de la biodiversité ». C’est d’un « crime de masse » ou d’une « extermination orchestrée », dont les auteurs et les causes sont connus, qu’il est aujourd’hui question. Ces derniers mots ne sont pas excessifs, ils sont précis ; ce sont les premiers qui sont édulcorés au point de confiner à la tromperie.