L'état de nature était proche, les raffinements terminaux de nos civilisations urbaines tendaient tous vers ce point effrayant où nature et culture, après la parenthèse moderne, se seraient à nouveau rejointes et où la ville, lieu manifeste de la liberté, n'exprimerait plus qu'un obscur et vénérable fatalisme - où la ville serait le théâtre mélancolique d'un monde sans dieux, sans hommes et sans réparation possible.