Et au milieu de tous, la figure ancestrale de l'effeuilleuse : la désormais mythique Loana. À peine créée, la téléréalité nous a offert grâce à elle l'équivalent de La naissance de Vénus de Botticelli : la beauté pure, sortie de sa petite piscine, et livrée, entière et nue, au scalpel de nos yeux. Je pense sérieusement, oui, qu'avec la scène de la piscine, avec sa rencontre aquatique avec le vaseux Jean-Edouard, tu as offert à la télévision l'œuvre d'art qui lui manquait. Cette scène, on le l'oubliera jamais.