Baptiste Arthano

Je suis en pleine lecture de cette magnifique épopée, fluidité,efficacité, j'ai du mal a décrocher.

les personnages sont élaboré, roman polyphonique très réussi.

très curieux de connaitre la fin de ce passionnant livre, extrêmement bien documenté, on plonge dans le passé et dans le futur

bravo à l'auteur.

Même si je ressors un peu déroutée et dubitative par cette lecture face à sa complexité, les différents univers dans lesquels nous transporte l’auteur, j’ai dévoré ce livre en 48 heures.

La lecture est très addictive, le récit riche en rebondissements et la plume est fluide et plaisante à lire.

Baptiste Arthano nous invite dans deux univers à l’opposé l’un de l’autre, un plongeon dans de le SF et de la fantasy.

3 parties composent le récit. La première est assez complexe, nous y suivons les protagonistes de l’histoire dans deux périodes différentes, ceux de l’avant et ceux de l’après. J’ai eu du mal avec l’avant que l’auteur nous narre à reculons dans le temps. Cela m’a un peu dérangée, j’ai du revenir parfois en arrière pour comprendre cette période.

Dans la 2e partie nous suivons Inata, l’héroïne principale, un jeune fille attachante dans une aventure humaine et mystique, les émotions sont au rendez-vous, avec du suspens de l’action et de nombreuses réflexions internes. L’auteur nous attache aux personnages, nous fait voyager dans un monde dans lequel la vie a régressé, emplis de croyances anciennes. Quelques situations m’ont laissés dubitative, j’attendais autre chose.

La 3 partie fait un bond dans le temps et personnellement je l’ai trouvé plutôt abrupt, avec l’arrivée d’un personnage important, pas vraiment une surprise. Je ne m’attendais pas à un saut aussi important. Dans ce volet, la SF est très présente, et là, j’avoue, j’ai un peu décroché, dans ce monde de cyborg, de logiciels de programmes et de virtuel…

Cependant à aucun moment je ne me suis ennuyée, l’imagination de l’auteur est puissante et les aventures tiennent en haleine et malgré les bémols, j’ai vraiment apprécié cette originale aventure.

La version papier est très belle, je remercie Babelio masse critique et les éditions Loutre du Beryl pour l’envoi et de m’avoir permis de faire cette découverte.

Un livre que j'ai dévoré en 3 jours, alors que pourtant, je lis très peu.

J'adore la science fiction, mais en général plus en film et ici nous en prenons plein les yeux. Nous voyageons à travers le temps dans des univers complètement différents. J'ai découvert des décors époustouflants et j'ai été captivée par l'histoire d'Inata demi Lune, héroïne de ce roman. J'ai adoré ce personnage à la fois humain, mystique et énigmatique. Ce livre a été un pur moment de plaisir ,où j'ai pu laisser libre à mon imagination.

Bravo à l'auteur et ses 4 mains pour ce premier roman.

Dans le cadre de la dernière masse critique, je remercie Babelio et les éditions La Loutre de Béryl pour l’envoi de « L’ombre du temps » par Baptiste Arthano.

Le livre porte bien son nom, car le temps y est une notion essentielle.

La narration nous fait basculer entre passé, présent et futur, le monde des vivants rencontre parfois celui des morts.



À la suite d’une mystérieuse catastrophe qui a provoqué l’effondrement de notre civilisation, les descendants sont revenus des siècles plus tard à un mode de vie plus rudimentaire.

Sur cette terre changée, on suit le parcours d’Inata Demi-Lune de la tribu namak, qui grâce à ses dons uniques, aura la délicate mission de guider les siens.

Les Namaks mènent une vie simple dans une région quasi-désertique, mais parsemée de vestiges technologiques comme si l’humanité était revenue des siècles en arrière après avoir atteint le paroxysme du progrès et de la modernité.

Son périple sera jonché de périls, car le cataclysme a laissé des traces d’irradiation et des êtres hostiles subsistent comme les Sarbâz Djen et les Irradiés. Les personnages subissent coup dur après coup dur, mais s'ils ne baissent pas les bras.

D’autres figures plus fantastiques apparaissent comme les Ombres qui perturbent les rêvent des habitants pendant leur sommeil.



Le livre combine fantasy et science-fiction. Pour peu qu’on ne soit pas allergique au mélange des genres, le roman va vous transporter entre les différentes périodes chronologiques même si la trame principale tourne autour d’Inata à son époque.

Je n’en dirais pas plus pour éviter de spoiler, mais sachez que le récit distille les informations au compte-goutte. Plusieurs interrogations se posant en début de lecture trouveront réponse par la suite.



Il y a deux univers qui se conjuguent dans l’ombre du temps. Celui d’avant le cataclysme qui s’apparente à notre société actuelle bien que les descriptions de divers éléments attestent d’une technologie bien plus en avance sur la nôtre.

Le monde d’après nous rappelle paradoxalement à un temps plus ancien saupoudré de mythologie perse et mésopotamienne.

Ces mythologies étant plus méconnues que celles d’autres civilisations antiques, j’ai eu le plaisir de les découvrir, notamment grâce à la documentation en index. En plus d’une liste de divinités, nous avons également droit à un mini lexique de mots perse, à une carte de la région et à de belles illustrations d’animaux cités pendant la lecture.



De mon avis personnel, le voyage d’Inata souffre de quelques lenteurs et certains passages plus complexes en détails technologiques m’ont moins emballée ou parfois même perdue.

Il faut également accepter de ne pas avoir toutes les réponses d’entrée de jeu et d’attendre que la lumière se fasse progressivement au fil des chapitres et pas forcément dans l’ordre de lecture.



Les quelques inconvénients précités ne m’ont pas empêché de passer une très bonne lecture.

L'écriture est fluide et facile à lire. J'ai beaucoup apprécié les originalités de l'histoire et sa structure narrative qui navigue entre les genres littéraires et les époques.

Il y a une grosse recherche sur la culture et la mythologie perse dont la documentation généreuse permet une meilleure compréhension de l’univers.

Le livre se teinte parfois de poésie et de spiritualité quand il traite de l’après-vie, suivre les pas de la tribu d’Inata sur fond de mythologie m’a emporté tantôt en Perse tantôt dans un monde plus futuriste.

je termine la lecture de ce livre un peu particulier : L’Ombre du Temps de Baptiste Arthano publié par La loutre du Beryl.



Composé de trois parties, pour trois "époques" (c'est un peu plus compliqué, mais bon, on va dire ça comme ça ^^), ce livre mêle astucieusement SF et fantasy. Entre cyborg et déité, entre combats des forces élémentaires et cannibales d'une société post-apocalyptique, on suit les aventures d'un groupe d'humains, ou du moins de descendants humains. Les mots touchent par leur justesse. Les scènes oscillent entre sentiments, réaction, et aventure.

Si la première partie m'a paru un peu ardue (je rappelle : la SF et moi... ) j'avoue que j'ai dévoré la deuxième et bien apprécié la troisième (où, pourtant, on retrouve la SF)

Je retiens Inata, le personnage principal, mais aussi quelques perso secondaire, riches et qui apportent un souffle à l'intrigue.

J'aime découvrir des bouquins dans les petites ME !

J'ai acheté ce livre lors d'un salon du livre mais je suis un peu déçue. J'ai eu du mal à aller jusqu'au bout et ne suis pas certaine d'avoir bien tout saisi à la fin. En revanche, le cadre historique est bien sympa et m'a permis de découvrir un pan d'une culture oubliée.

J'ai reçu ce livre dans le cadre d'une opération "masse critique" et j'étais bien impatiente de le découvrir au vu des chroniques très positives sur Babelio...

Je suis ennuyée à l'heure d'écrire ma critique car j'ai l'impression de ne pas avoir lu le même livre que mes prédécesseurs sur cette page et j'aurais aimé pouvoir soutenir davantage ce premier roman, dont l'auteur semble avoir fait beaucoup de recherches pour ancrer son récit dans les paysages et la culture perses. Malheureusement, cet ouvrage m'est tombé des mains à de nombreuses reprises. J'ai vaillamment essayé de poursuivre ma lecture en me disant qu'il fallait laisser le temps au récit de se déployer. J'ai tenté de faire abstraction de la construction narrative déstructurée du début qui fait écho aux perturbations temporelles (Ce qui fonctionne magnifiquement dans @Le déchronologue de S. Beauverger mais ne m'a pas convaincu ici…). Et je suis passée outre le style, celui d'un élève appliqué à faire de belles phrases, mais sans poésie et sans frisson. Las je ne parviens pas à accrocher !



J'ai lu beaucoup de science-fiction et de fantasy, d'où sans doute une certaine exigence en matière de rythme, d'originalité de l'intrigue, de style et de consistance des personnages. Après un peu plus de 200 pages, me voici arrivée à la moitié de ce pavé et aucun fil émotionnel ne me rattache à ces personnages unidimensionnels qui manquent pour moi de relief comme de profondeur. Le vilain milliardaire par qui la catastrophe arrive est très méchant, l'héroïne est très courageuse, ses compagnons sont de braves gars, mais au stade où je suis arrivée dans ma lecture il n'y a pas ou peu d'ambivalence, de conflits intérieurs, d'évolution des personnages, de subtilité dans les réactions, d'humour. De mon point de vue, ces personnages ne sont pas « vivants », ils ne sont pas surprenants et je lis avant tout pour être surprise.

Bref, je salue l'effort de l'auteur mais en ce qui me concerne je n'y ai pas trouvé le souffle épique que j'espérais.