Sa condamnation lui colle aux baskets comme un vieux chewing-gum, mais Baya n’est pas du genre à se laisser abattre. Elle contacte le collège de son adolescence et décroche un poste de surveillante pour la rentrée suivante. Problème : au moment de signer son contrat, le proviseur exige lui aussi un extrait de son casier B2, celui dans lequel figure sa condamnation. Impossible de travailler pour l’Éducation nationale avec ses antécédents.