Préface de Claro
Et peut-être que le monde, finalement, n'est qu'un vaste abattoir, un peu plus métaphorique mais non moins violent, et tout aussi désillusionné. Chacun y dépèce sa parcelle de temps. L'équarissage est général. Non seulement Dieu est mort, mais il pend à un crochet, aux yeux de tous. (p. 10)