Ni l’un ni l’autre n’avait eu l’occasion d’apprendre à jouer d’un instrument ou n’avait été initié au solfège. C’était un monde inconnu qu’ils considéraient avec le respect un peu hostile des analphabètes devant un dictionnaire. Ils n’avaient jamais envisagé la musique comme quelque chose qui s’apprend assis, qui s’écrit sur du papier, quelque chose qui peut exclure au lieu de réunir.