[Sur Henry Miller ]
(...) s'il doit un jour revenir à Paris, il "s'installera à l'hôtel, en pension complète", poursuit-il. (...) Ecrire et aimer à l'hôtel, comme au début. Dans deux ans, il aura cinquante ans. Vivre à l'hôtel, c'est peut-être une ruse pour défier le temps, pour vivre sans âge. (p. 10)