Je ne fréquentais pas les gens qui fréquentaient le Ritz. Les moustiques, voilà comment mon mari les appelait. Et j’aurais peut-être dû l’écouter. Peut-être que rien de bon ne pouvait arriver au bar du Ritz ; peut-être qu’on était condamné à faire quelque chose de frivole et d’irresponsable, ou à traîner dans le coin jusqu’à avoir bu le sang de quelqu’un ou que quelqu’un ait bu votre sang.