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Critiques de Ben Oliver (II) (6)
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Batman - Detective Comics, tome 2 : Le Synd..

Ce tome fait suite à Batman : La nuit des monstres qu'il n'est pas indispensable d'avoir lu avant. Par contre il faut avoir lu le premier tome Batman Détective Comics, tome 1 (épisodes 934 à 940) pour savoir comment s'est formée cette équipe et pour comprendre les références faites aux événements passés. Ce recueil comprend les épisodes 943 à 949, initialement parus en 2017, parus à un rythme bimensuel, écrits par James Tynion IV. Du fait du rythme de parution très élevé, plusieurs équipes créatives se succèdent. Épisode 943 : dessins d'Alvaro Martinez, encrage de Raul Fernandez, couleurs de Brad Anderson. Épisode 944 : dessins d'Eddy Barrows, encrage d'Eber Ferreira, couleurs d'Adriano Honorato Lucas. Épisode 945 : dessins d'Alejandro Barrionuevo & Carmen Carnero, encrage d'Alejandro Barrionuevo & Scott Hanna, couleurs d'Adriano Honorato Lucas. Épisode 946 : dessins d'Eddy Barrows, encrage d'Eber Ferreira & Julio Ferreira, couleurs d'Adriano Honorato Lucas. Épisode 947 : dessins Alvaro Martinez, encrage Raul Fernandez, coloriste Brad Anderson. Épisode 948 : dessins et couleurs de Ben Oliver. Épisode 949 : dessins de Szymon Kudranski & Ben Oliver, couleurs de Ben Oliver. Ce tome comprend également les couvertures principales réalisées par Jason Fabok, et les couvertures alternatives réalisées par Rafael Albuquerque.



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- Épisodes 943 à 947 - Batwoman (Kate Kane) et Renée Montoya se tiennent devant l'entrée de la tour Wayne, sur laquelle quelqu'un a laissé un énorme graffiti rouge exigeant la fin de la présence de superhéros à l'emblème de la chauve-souris. Montoya débriefe la superhéroïne : la police a reçu un appel de Lucius Fox qui était en état de choc, après l'irruption de 5 gugusses costumés dans la tour Wayne. Il s'agit de First Victim, Madame Crow (Abigail O'Shay), Mr. Noxious (Guy Mandrake), Mudface (Glory Griffin) et Mute (Virgil Myers). Ils se font appeler le syndicat des victimes, les habitants de Gotham étant devenus des dommages collatéraux lors d'un affrontement entre Batman et des supercriminels. Pendant ce temps-là, Batman se tient face à la cellule de Jacob Kane (le père de Kate Kane) pour essayer de lui arracher des informations sur le groupe qui se fait appeler la Colonie (voir tome 1).



Jacob Kane ayant refusé de divulguer quelque renseignement que ce soit, Batman appelle Batwoman pour avoir plus d'informations sur le forfait du syndicat des victimes. Elle lui rappelle qu'il devrait peut-être prendre un peu de recul après ce qui est arrivé à Red Robin. À la clinique Thompson, Harper Row s'occupe d'apporter un peu d'aide aux malades, avec Stephanie Brown (Spoiler) à ses côtés. Harper Row essaye de la consoler suite à ce qui est arrivé à Red Robin. Jean-Paul Valley (Azrael) qui travaille également à la clinique vient échanger quelques mots avec elles. Pendant ce temps-là, Clayface (Basil Karlo) est en train de s'entraîner dans la salle de simulation du Beffroi, en présence de Orphan (Cassandra Cain).



Le premier tome de cette itération de Dectective Comis (version Rebirth, 2016) avait retenu l'attention du lecteur pour sa gestion intelligente des membres de l'équipe et un processus d'assemblage de l'équipe convaincant. Le crossover Night of the Monster Men était plus appliqué, bien construit, mais moins intéressant. Le lecteur éprouve donc l'envie de retrouver ce groupe de superhéros portant l'emblème de la chauve-souris dans leur propre série, sans l'intervention inopportune des autres séries. Il constate que James Tynion IV n'arrive pas à se sortir de son coup de théâtre un peu forcé du premier tome : la mort de Red Robin. En effet, il avait révélé au lecteur qu'il n'en était rien (il s'en doutait bien car il n'est pas possible d'éliminer comme ça un personnage de premier plan, surtout dans une série secondaire). Du coup, le pseudo-deuil de Batman et de Spoiler tombe à plat, sans aucune crédibilité, sans que le lecteur ne s'y implique d'aucune manière.



Le scénariste continue de gérer une distribution impressionnante, faisant apparaître les mêmes superhéros que dans le premier tome : Batman, Batwoman, Spoiler, Orphan, Clayface, et même Red Robin fait une courte apparition. Comme dans le premier tome, Batman et Batwoman se taillent la part du lion dans les séquences ne laissant que quelques miettes pour les autres. Dans ce tome, Tynion IV a décidé de mettre en avant Stéphanie Brown avec l'écueil de son deuil pour lequel le lecteur n'arrive pas à s'impliquer, ainsi que Basil Karlo, beaucoup plus émouvant que prévu. Il intègre également deux autres personnages récurrents de Gotham, à savoir Harper Row et Batwing (Lucas Fox). L'auteur est toujours aussi habile pour réussir à les faire exister, malgré le nombre important de personnages. En particulier Lucius Fox trouve naturellement sa place, du fait de l'absence de Tim Drake. Il sait aussi faire ressortir l'unicité de chaque superhéros à chauve-souris par rapport aux autres, et même à commencer à justifier la présence du supercriminel Clayface.



L'idée d'un groupe de victimes des dommages collatéraux occasionnés par les combats de Batman tombe sous le sens. Il n'est pas entièrement logique qu'eux-mêmes interviennent en occasionnant à leur tour des dommages collatéraux, mais leur objectif est cohérent : exiger que Batman raccroche sa cagoule pour éviter qu'il n'occasionne d'autres dommages qui à leur tour engendreront d'autres victimes. Sous réserve de ne pas trop tiquer sur leur méthode, le lecteur peut alors profiter de la logique qui s'enclenche, sans être dupe de ses prémisses faussées. Il voit l'effet produit sur Spoiler, à la fois par cette logique, à la fois par la réalité tangible desdites victimes. Cette remise en cause du mode d'intervention de Batman et consorts amène Spoiler à le confronter sur le sujet, mais aussi les autres à s'interroger sur leur propre participation perpétuant cette façon de faire. James Tynion IV pousse le bouchon un peu plus loin, avec plusieurs membres de l'équipe remettant en cause la véritable motivation de Batman pour avoir créé cette équipe et pour avoir choisi ces membres-là. Le scénariste ne se lance pas une déconstruction du récit de superhéros, mais il dépasse largement l'assemblage de clichés spécifiques aux aventures de Batman. Le lecteur peut juste regretter la gestion du déroulement des affrontements entre le syndicat des victimes et l'équipe de Batwoman qui tourne vite à l'échange basique d'horions.



Le rythme intensif de parution induit une augmentation du nombre d'artistes par rapport au premier tome. Alvaro Martinez, Eddy Barrows et Alejandro Barrionuevo dessinent dans un registre proche, de type réaliste, avec un niveau de détails satisfaisant, sauf pendant les affrontements physiques prolongés. Dans ces séquences, le décor devient une quantité négligeable et négligée, et les personnages se retrouvent à se battre sur une scène sans arrière-plan, mais bien habillée par les camaïeux mis en œuvre par les coloristes avec les effets spéciaux de l'infographie. Au fil des épisodes, le lecteur peut apprécier des mises en page pensées à l'échelle des 2 pages en vis-à-vis. Tout du long, les artistes apportent un soin particulier aux personnages : le visage blanchâtre et la chevelure flamboyante de Batwoman, les postures imposantes de Batman, les déformations et la texture de boue de Clayface, les postures un peu plus raides de Batwing du fait qu'il porte une armure, les gestes plus emphatiques de Spoiler du fait de son jeune âge.



Régulièrement, les dessinateurs font honneur à la dimension spectaculaire du récit, soit de manière un peu conventionnelle, soit de manière plus inventive. La vitrine avec le costume vide de Red Robin, ou l'utilisation de seringues par Mr. Noxious s'inscrivent dans la première catégorie. Le lecteur est beaucoup plus impressionné par l'arrivée de Kate Kane au bras de Bruce Wayne pour une soirée mondaine, par l'assurance de Lucius Fox, par le stoïcisme de Jacob Kane dans sa cellule, par le face à face émouvant entre Clayface et Mudface, par la manifestation des pouvoirs de Clayface. Globalement ces 3 dessinateurs réalisent un travail professionnel, parfois reposant sur des images un peu trop convenues, parfois avec des visions beaucoup plus percutantes, toujours avec une narration visuelle efficace.



James Tynion IV et son équipe réalise une deuxième aventure de cette équipe de superhéros à l'emblème de chauve-souris avec une grande habileté dans la gestion des membres de l'équipe pour faire ressortir leurs spécificités, avec une remise en cause des motivations et du mode opératoire de Batman pour partie pertinente, pour partie impossible à avaler (tout ce qui découle de la mort supposée de Red Robin). Les artistes réalisent un travail professionnel de bon niveau, à défaut d'être tout le temps inspiré. 4 étoiles.



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- Épisodes 948 & 949 - Kate Kane se souvient de la manière dont elle essayait de suivre Batman 2 ans auparavant, alors qu'elle s'entraînait sous les ordres de son père. Au temps présent, elle doit se mesurer à Colony Prime qui a récupéré une arme bactériologique et qui investit le Beffroi pour libérer Jacob Kane.



Ces 2 épisodes sont coécrits par James Tynion IV & Marguerite Bennett, et servent d'une certaine manière à installer la dynamique de la série Batwoman qui a démarré peu de temps après par Marguerite Bennett & Steve Epting. Tynion Iv en profite pour introduire un nouveau personnage : Victoria October. Bennett en profite pour établir la motivation de Kate Kane, les différences entre son mode opératoire et celui de Batman, et l'antagonisme entre elle et son père Jacob Kane, avec l'existence de la Colonie. Les coscénaristes font bien leur travail : la narration est un peu décompressée, mais Batwoman gagne en personnalité, et en différence par rapport à Batman. Les 2 épisodes sont illustrés par Ben Oliver, à l'exception de 2 pages de l'épisode 949 dessinées par Szymon Kudranski. Ses dessins sont un peu plus épurés que ceux de Martinez et Barrows, tout en restant assez consistants, avec une mise en couleurs plus expressionniste qui complète les traits encrés de manière satisfaisante.



Le lecteur voit les coscénaristes expliciter le positionnement de Batwoman à par rapport à Batman, dans 2 épisodes qui se lisent rapidement, avec des dessins agréables. 3 étoiles.
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Ghost Rider, tome 7 : Entre enfer et paradis

Ce qui m'a attiré dans ce tome, c'est le scénariste : Jason Aaron. Il est l'auteur d'une série parue chez Vertigo dénommée Scalped (à commencer par Pays indien) qui n'est pas à mettre entre toutes les mains et d'une série de Wolverine (par exemple Wolverine 2012 003). Ce recueil regroupe les numéros 20 à 25 de la série mensuelle, les premiers scénarisés par Aaron, ainsi que le numéro annuel 1 (scénario de Stuart Moore, dessins et encrage de Ben Oliver).



Dès le début, on sait qu'Aaron maîtrise son personnage et le genre d'histoires qu'il veut raconter. Johnny Blaze veut se venger de Zadkiel (un ange) qui l'a manipulé et qui s'est servi de lui pour planifier un coup d'état visant à détrôner Dieu et prendre sa place. Johnny Blaze chevauche sa moto sur les routes de l'Amérique profonde et arrive dans un bled paumé où un jeune homme détient peut être un moyen d'atteindre Zadkiel. Le Ghost Rider se trouve rapidement confronté à des esprits errants en quête de vengeance et à un commando servant Zadkiel (ce commando est composé d'infirmières maniant de gros calibres). Dans les 2 derniers épisodes, Johnny Blaze est en prison à la recherche d'un autre prisonnier qui disposerait également d'informations sur la méthode à suivre pour rencontrer Zadkiel. Dans les 2 histoires, le Ghost Rider finit par se manifester et les affrontements qui s'en suivent sont sans pitié.



L'objectif d'Aaron était d'écrire des histoires dans la veine des films qualifiés de Grindhouse (budget limité, violence illimitée, atmosphère étrange et bizarre...). Il a parfaitement atteint son objectif. D'un coté, on sait que le Ghost Rider finira par regarder les méchants droit dans les yeux et leur donner un avant goût des châtiments de l'Enfer. De l'autre coté, Aaron sait agencer des situations où le Ghost Rider ne triomphera pas sans péril. Les illustrations sont au diapason du genre grindhouse : esthétisme limité pour une efficaicté accrue. Les 4 premiers épisodes sont illustrés par Roland Boschi dont le style est efficace et clair. Il est à l'opposé des dessins fouillés et léchés d'un George Perez, il choisit un style plus anguleux, plus crayonné. Pour autant les illustrations comportent suffisamment de détails et Dan Brown réalise une mise en couleurs qui les complémente parfaitement. La deuxième partie est illustrée par Tan Eng Huat dont le style évoque un mélange de Kevin O'Neill (en moins détaillé mais en aussi anguleux) et Mike McMahon. Dans les 2 cas les visages sont un peu massifs et guère avenants. Mais dans les 2 cas le style graphique se marie bien avec le scénario.



J'ai beaucoup apprécié ces histoires de l'incarnation de la vengeance qui distribue une justice expéditive et définitive. C'est un très bon comics de divertissement, à déconseiller aux plus jeunes (Marvel a choisi le label "parental advisory" pour cette série).
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Batman - Detective Comics, tome 2 : Le Synd..

Ce recueil – le deuxième de l’ère rebirth – regroupe les épisodes 943 à 948 de DETECTIVE COMICS et continue les lignes narratives débutées lors du précédent volume. Il peut néanmoins se lire de manière indépendante, en sachant que Batman possède à présent sa propre équipe super héroïque. On y retrouve entre autre Batwoman, Spoiler, Orphan, Batwing mais également l’ancien vilain Gueule d’Argile. Tout ce petit monde affronte une nouvelle bande de criminels composée notamment d’un mystérieux personnage se prétendant la « première victime » collatérale des actions de Batman. Se présentant comme le syndicat des victimes (une thématique qui fait écho à un arc récent de la Justice League), les criminels veulent mettre les encapés devant leurs responsabilités et leur rappeler que leurs combats entrainent souvent des victimes dans les rangs des simples citoyens. Dans le même temps la Bat Family se remet du décès (supposé bien sûr) de Red Robin.

Avec ce deuxième tome, les auteurs parviennent à gérer efficacement les rapports entre les pourtant nombreux personnages, mettant ici particulièrement en avant l’ambigu Gueule d’Argile et Spoiler. La remise en cause des méthodes des encapés s’avère intéressante et fait écho, de manière diffuse, aux événements ayant conduits, à la concurrence, à la fameuse Civil War des années 2000. Ici chacun commence à douter des actions des super humains et les questions soulevées par le syndicat des victimes, en dépit de méthodes discutables, sont intéressantes et, en tout cas, largement mieux développées que dans les premiers épisodes de JUSTICE LEAGUE REBIRTH.

Dans l’ensemble et malgré une multiplication des dessinateurs à l’œuvre, le récit se montre graphiquement soigné, ça manque parfois un poil de détail dans les décors (vu le rythme stakhanoviste des sorties DC guère étonnant) mais les personnages sont bien typés et les scènes de combats rondement menées.

En complément nous avons droit à un petit flashback « deux ans plus tôt » dans la vie de Kate Kane logiquement intitulé « Batwoman begins ». Deux épisodes qui reviennent sur les divergences entre la jeune femme et son père, directeur de la Colonie. Plutôt plaisant.

En bref ce deuxième volume de DETECTIVE COMICS confirme la bonne impression laissée par le précédent :voici du Batman divertissant, efficace et pas stupide pour autant.


Lien : http://hellrick.over-blog.co..
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The Authority : Humains malgré tout

Après Soleil et Semic, c’est au tour de Panini Comics de prendre en main la version française de ce comics créé en 1999 par Warren Ellis et Bryan Hitch et dérivé de la série "Stormwatch". Cette histoire complète scénarisé par John Ridley et dessiné par Ben Oliver est à situer entre les tomes 4 et 5 édités par Semic, mais peut se lire indépendamment du reste.



Le ton est différent des aventures précédentes. Alors qu’on était habitué à voir l’équipe d’Authority régler des problèmes d’envergure (sauvetage de la planète, invasions inter-dimensionnelles, etc), tels des dieux, ils vont ici surtout être confrontés à eux-mêmes et à quelques individus qui leur veulent du mal. Las de se voir dicter sa conduite par les super-humains et de la manière dont il est traité, le Président des Etats-Unis cherche ici à se débarrasser de l’équipe d’Authority.



Le lecteur se retrouve donc au milieu d’une histoire de vengeance qui trouve ses racines au sein d’aventures précédentes (notamment le remplacement de l’équipe d’Authority par une autre). Les membres de l’équipe doivent également faire face à leurs faiblesses humaines : la relation homosexuelle entre Apollo et Midnighter, la dépendance aux drogues du docteur, l’aspect inhumain de l’ingénieur et le statut de leader de Jack Hawksmoor. Cette histoire fait donc ressortir le côté humain des personnages et la faiblesse des humains au sein d’un monde qui sombre dans le désespoir.



L’intrigue est beaucoup moins complexe et donc plus facile à suivre que lors des aventures précédentes qui sont plus mystiques et déjantées. Les auteurs nous livrent certes une analyse de la nature humaine, mais on est bien loin des rebondissements improbables et des planches sanglantes des albums précédents. Le tout est donc plus simple, plus terre-à-terre, voire soft. N’étant pas vraiment un amateur des scenarii précédents complètement hallucinés cela ne m’a pas vraiment dérangé. Par contre, la fin de l’histoire, où tout redevient normal comme si de rien n’était, m’a plus dérangé. Au fil des pages, on suit la descente aux enfers des membres de l’équipe et puis, soudainement, arrivé à la fin de l’histoire, tout redevient normal. Du coup, à l’arrivée on obtient un status qui remet en question l’utilité de cet album.



Un album agréable à lire qui n’est cependant pas dans la lignée du reste de cette saga normalement plus déjantée.
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Batman - Detective Comics, tome 2 : Le Synd..

Un scénario riche, une qualité visuelle truffée de détails, et un résultat tout à fait surprenant !
Lien : http://www.actuabd.com/Batma..
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Batman - Detective Comics, tome 2 : Le Synd..

Graphiquement, on n'a pas à se plaindre, ce n'est que du bon boulot. Efficace et rythmé. Un bon récit et de bonnes intrigues.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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