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Bibliographie de Benjamin de Marçay   (1)Voir plus

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Citations et extraits (8) Ajouter une citation
C’est juste que parler de ça me rappelle des souvenirs encore douloureux. Je pense d’ailleurs qu’ils resteront encore et toujours pénibles dans mon esprit. Ce genre d’évènement ne vous quitte jamais. Comme une marque au fer rouge, vous savez. Au fil du temps, cette marque devient de moins en moins écarlate, elle vous fait moins souffrir mais parfois la douleur endormie se réveille et vous tiraille dans tout votre être. La cicatrice, elle, est encore bel et bien visible. De cette manière, jamais vous ne pouvez oublier. Cette trace indélébile vous torture, écrase votre corps et votre cœur. Votre esprit ne peut jamais se reposer. C’est comme une sentence. Une sorte de peine de prison que vous purgez même en étant totalement libre de vos mouvements.
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Elle aimait regarder à la télévision des documentaires, parfois jusque tard dans la nuit, quand son mari, lui, était déjà parti se coucher. Depuis toujours, elle aimait s’intéresser aux autres, parfois même à des situations qu’elle ne côtoierait jamais. Par exemple, elle adorait les émissions qui allaient à la rencontre de peuples lointains alors que son mari n’aimait pas du tout ce genre de programmes. Cette pensée la fit réfléchir sur sa propre vie. Depuis quelques années déjà, elle avait l’impression de ne plus partager grand-chose avec lui. Ils étaient mariés depuis bien trop longtemps pour qu’elle puisse se rappeler du nombre exact d’années. Elle sourit à l’idée que pour une fois, une femme ne se souvenait pas de ce chiffre si symbolique.
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Je n’accepterai pas qu’on s’apitoie sur mon sort. Je n’ai pas envie qu’on me regarde et qu’on s’adresse à moi comme une malade. Je n’ai pas envie qu’on me propose sans cesse de me reposer. Ou qu’on me suive partout alors que tout ce que je désire, c’est être seule. Me sentir bien, me sentir libre. Me sentir comme les autres, ni plus ni moins. Cela vient certainement de ma mère qui a souffert d’Alzheimer assez tôt. Elle en est morte, d’ailleurs. Elle était devenue complètement instable et dangereuse pour elle. Et pour les autres.
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Généreuse et passionnée, elle l’avait séduit dès les premiers mots. Le coup de foudre ? Peut-être même s’il n’y croyait pas. Penser à ces instants continuait à le troubler. Il ne savait pas vraiment s’il l’aimait encore. Plusieurs années de vie commune et la naissance d’un enfant ne pouvaient jamais totalement s’oublier.
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Je n’arrive pas à comprendre comment la vie peut être parfois si belle, pleine d’enthousiasme, de légèreté et en même temps si vicieuse, si vile. Comme si à défaut de pouvoir punir les vrais méchants, elle jouait à la roulette russe et choisissait au hasard les pauvres âmes sur lesquelles elle apposera son courroux.
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On pouvait se préparer psychologiquement à tous les évènements traumatisants en pensant que le choc serait moins dur et qu’on l’accepterait plus facilement. Le moment venu, et malgré un mental d’acier, il fallait encaisser, digérer puis se relever, car la vie se poursuivait.
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Je crois que personne ne peut se vanter d’être quelqu’un de bien. Sur sa route, on rencontre toujours des obstacles qui nous forcent à faire des choix, à prendre des décisions. Qui se révèlent ne pas toujours être les meilleures.
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La vie est un grand jeu. Comme une sorte de kermesse géante. Beaucoup de personnes y jouent mais toutes ne sont pas gagnantes.
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— Il s’en est fallu d’un cheveu ! Sans son regard rapide, sans ses yeux de lynx, XXX XXXX, en ce moment, ne serait peut-être plus de ce monde ! Quel désastre pour l’humanité ! Sans parler de vous, Hastings ! Qu’auriez-vous fait sans moi dans la vie, mon pauvre ami ? Je vous félicite de m’avoir encore à vos côtés ! Vous-même d’ailleurs, auriez pu être tué. Mais cela, au moins, ce ne serait pas un deuil national ! Héros de Agatha Christie

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