En 1747, Louis Daignan du Sendat, archidiacre du Magnoac, dans le diocèse d'Auch, mit ainsi fin, lors d'une visite pastorale, à l'obligation faite aux cagots de la paroisse de Guizerix de passer par une porte particulière :
... Pour abolir cette distinction [ il ] passa en sortant de l'église par la porte des capots, suivi du curé et des autres ecclésiastiques de la paroisse et ceux de sa suite. Le peuple voyant cela les suivit aussi, depuis lequel temps ont passé indifféremment par l'une ou l'autre porte. (p. 174)