Ce sont de longues musiques sans paroles jouées par des orchestres, ou des opéras - mais il ne comprend rien à ce que chantent les voix -, ou encore des pièces pour piano et pour violon et violoncelle. Il déteste toutes ces musiques. [...] D'un morceau à l'autre il entend la même immobilité - ces musiques ont le pouvoir d'étirer le dimanche hors des proportions d'un jour ordinaire.