Les maisons reçoivent l'empreinte de ce qui s'est passé, elles ne respirent plus de la même façon, elles s'assombrissent. Les tristesses s'inscrivent dans les murs, se glissent dans les arbres dont le feuillage ne bruit plus de la même façon, mettent un filtre grisé sur la pureté de l'air. (p.177)