Grand-père poursuivait, imperturbable, passait du père au fils comme il aimait que la plupart de ses récits pût se dérouler, Pantagruel donc, lequel pissait encore, une urine chaude qui donnerait moult sources, à Néris, Bourbon-Lancy (future Saône-et-Loire), en Italie, et ne guérirait qu'après avoir avalé - entre autres remèdes - cinq tonnes de rhubarbe. Stupéfait par l'intrigue et les chiffres, je ne remarquais pas qu'il fût question d'une maladie, Grand-père esquivait avec discrétion cet aspect di sujet, nous en resterons là.