Nous l'avons répété mille fois, les gens sont saturés de photographies. Ce qu'il faut c'est du concret, du palpable, l'odeur, les plaies qui vous coulent dessus. C'est ça, en prendre un, une fois, dans ses bras.
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Qu'il but contre le corps d'un enfant en train de mourir, il s'arrêtera. Il ne pourra pas l'enjamber et continuer de courir à son rendez-vous important. Il se baissera, il prendra l'enfant dans ses bras et le portera où on peut le sauver.