Ici, il n’est d’ombre que celle de l’oiseau, d’empreinte que celle du vent. L’histoire des hommes est écrite sous la lave. Diego a gardé la gueule de ses ancêtres, broyés par des dieux impatients. Il aime les étoiles de sel sur le rouge braise. Son cœur est ainsi, de neige et de feu avec des coulées d’or sur ses blessures, comme les sommets andins.