Comme la Mafia, ils ne connaissent que la famille et jamais le pays. Il faudra se poser la question de savoir pourquoi leur famille n’est pas le pays. Les sentiments anti-français agités avec des drapeaux lors des matchs de foot, la Marseillaise copieusement sifflée, participent d’un « internationalisme » tout à fait en phase avec le crime. Abonder la Mafia ne transformera jamais la Mafia en œuvre de charité : on peut se dire que l’immense bonne volonté des politiques de la ville fut, en partie au moins, de l’eau versée dans le sable du trafic.