Pierrat se demanda en voyant ces maisons de maître ce qui faisait qu'à la loterie de la vie certains touchaient le gros lot et se retrouvaient à vivre dans un quartier pavé d'or tel que celui-ci, tandis que d'autres devaient se contenter d'un logement avec vue sur le périphérique et de s'entasser dans des métros et des trains bondés aux heures de pointe.
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