Mais Servaz avait assez d'expérience pour savoir que le mal n'était pas quantifiable, ni réductible à un principe scientifique, à des considérations biologiques ou à une théorie psychologique. Les esprits soi-disant forts prétendaient qu'il n'existait pas; ils en faisaient une superstition, une croyance irrationnelle pour esprits faibles.
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