La pudeur ainsi, protège le mystère de l’autre. Elle détourne celui qui regarde et celui qui est regardé de l’illusion et de la tentation de prendre connaissance d’autrui, de faire de lui un être matériellement appréhendable un objet à ma disposition. La pudeur, gardienne de la profondeur insondable de la personne enrichit la relation et c’est l’impudeur qui l’appauvrit.