Je regrette de n'avoir découvert ce livre que 10 ans après sa parution (Merci Emmaüs qui m'a permis de le rencontrer).
Développement durable (terme aujourd'hui un peu désuet) est en effet un axe de société à explorer.
Il faut en effet contraindre les marchés, les états devraient s'y investir.
Mais en 10 ans, les mouvements libertariens ont pris de la force et les entreprises supra-nationales en sont à vouloir "ester contre les états".
La notion de "planification" est trop connotée, il conviendrait de parler de stratégie ou de vision d'avenir.
Et surtout il faut "raconter une histoire", "faire rêver", "montrer la croissance (au sens ressenti, au sens bien-être et osons le dire au sens bonheur)"....
Lisez/Regardez @cyril dion (Demain par exemple) et même ré-écoutez "Foule sentimentale" d'Alain Souchon.
L'auteur pense que le réflexe "solidarité de type économie de guerre" viendra lors des chocs climatiques.... Je suis moins optimiste, je vois plutôt un monde à la Mad Max...
J'espère avoir tort.
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