Guillaume pleurait son saoul et lui, Nivard, le révolté, ruminait de sanguinaires vengeances. Entre ses dents, il blasphémait contre cette religion répressive, exempte de miséricorde et dépourvue d'humanité. Il vomissait les censeurs ecclésiastiques bien-pensants qui bafouaient l''Evangile et spoliaient les pauvres et les opprimés de leur droit à l'espérance et à la tendresse du père.