C’est ma faute, crie-t-elle. Quand il essaie de la retenir, elle le frappe lui aussi, pleure, tente de se libérer de ses bras ; il faut qu’elle fasse tout correctement. Tout ce qu’elle dit maintenant, tout ce qu’elle fait doit le convaincre ; il faut qu’il la croie, qu’il ne doute pas une seule seconde, le bel inconnu. Elle le laisse la retenir, est très proche de lui, cache son visage contre sa poitrine, il la tient, elle halète, le respire, l’entend. Sa voix chuchote : Je m’appelle Mark. Je suis policier. Ça va aller.