J’imagine que si nous étions invulnérables (…) si nos corps pouvaient supporter d’innombrables sévices sans jamais ressentir de douleur, peut-être la violence ne nous fascinerait-elle pas autant. Elle serait une réalité lointaine et peu intéressante, mais voilà, nous craignons la douleur parce qu’elle est omniprésente.