Que connaissait-il au monde du crime ? Et puis il se sentait bien incapable d’appliquer le style de ces pisseurs de copie qui emplissent les journaux à gros tirages. Lui, il se sentait à l’aise avec les longues descriptions, les belles envolées stylistiques, les intrigues amoureuses savamment entretenues... Mais écrire sur des femmes qui se font trucider par un sadique, c’était une autre paire de manches ! Il lui faudrait un homme de bon conseil, quelqu’un qui pourrait amorcer la pompe...