La première fois que je l'ai vu, je l'ai confondu avec un chien et je suis allé lui renifler les fesses en guise de salutations. C'est seulement quand ces fesses se sont mises à miauler que j'ai compris mon erreur.
Au lieu de sentir le derrière d'un chien, je reniflais le devant d'un chat !
En souvenir de cette première rencontre, j'appelle Jean-Jacques "Tête de Fesses" , et nous sommes d'accord pour être ennemis.